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Linux sur PC : Linus Torvalds ne veut pas lâcher l’affaire

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Open Source : Lors de la conférence LinuxCon, le père du kernel Linux s’est exprimé sur les perspectives de développement. La montée en puissance des architectures ARM et le succès des Raspberry Pi sont au centre, mais Linus Torwald n’entend pas abandonner le marché des PC de bureau.

Si Linux est parvenu à s’imposer de façon très large dans le monde de l’informatique, il reste un secteur qui échappe encore et toujours au noyau crée par Linus Torvalds : les ordinateurs de bureau. Pourtant, ce dernier n’en démord pas : interrogé lors de la LinuxCon sur l’avenir du projet, celui-ci a répondu « Je tiens toujours à m’imposer dans le monde des PC fixes » comme le rapportent les blogueurs de ZDNet.com. Une déclaration forcément accueillie avec enthousiasme par l’audience.

Mais Linus Torvalds reste prudent : « Ce n’est pas un problème lié au noyau, c’est surtout lié à l’infrastructure. Je pense que l’on y arrivera un jour ». Évasif donc. Son interlocuteur sur l'événement a tout de même tenté de l’interroger sur le sujet et lui a demandé d’avancer une date. Linus Torvalds a cependant préféré botter en touche.

Le desktop n’est pas le seul horizon

Les distributions Linux ont largement su s’imposer dans l’informatique professionnelle (serveurs et supercalculateurs en particulier), mais n’ont jamais vraiment réussi à percer auprès du grand public. Selon les derniers chiffres de NetMarketShare, ce marché reste encore largement dominé par Windows qui s’accapare 91% des utilisateurs. Mac OS représente de son côté 7%, tandis que les différentes distributions Linux ne rassemblent qu’1,6% des utilisateurs de PC connectés.

Mais Linus Torvalds se veut réaliste et entend bien rester pertinent face au marché de l’informatique. Il a ainsi relevé l’essor des Raspberry Pi et autres modèles de nano-ordinateurs, et évoqué la possibilité d’un cœur de noyau Linux « plus petit et plus rapide ». Il a toutefois regretté que la plupart des entreprises se contentent d’utiliser d’anciennes versions de Linux pour travailler dans le monde de l’embarqué.

Linus Torvalds s’est en revanche félicité du processus de développement pour les architectures ARM, qui sont notamment à la base des Raspberry Pi. « Lorsque je m’occupais des fusions avec ARM, j’avais une profonde envie de me tirer une balle dans la tête et d’emporter avec moi plusieurs dev ARM avec moi. C’est moins douloureux aujourd’hui et la communauté ARM s’est adaptée au fonctionnement avec plusieurs mainteneurs du noyau. Les efforts se concentrent maintenant sur un tronc commun et sur l’unification du code » a-t-il expliqué.

Source : Zdnet.fr

Google may use ARM technology for server processors

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British chip designer ARM Holdings Plc's shares rose as much as 5.7 percent after Bloomberg reported on Thursday that Google Inc may use ARM's technology to design its own server processors.

A deal would speed up ARM's push into the server market, where it has been a late entrant. ARM's chief executive, Simon Segars, said in March after taking the helm that he saw big opportunities in servers, an area where the company was just getting started.

May use ARM's tech

ARM licenses its designs to chipmakers such as Qualcomm and Texas Instruments, whose chips are used in Apple Inc's iPhone and Samsung Electronic Co's Galaxy devices. ARM, which receives royalty on the sale of every chip that uses its technology, declined to comment on the report.

Jefferies analyst Lee Simpson said he expected companies such as Amazon and Facebook, which maintain large server farms, to adopt ARM's designs over the next couple of years. ARM's strength in designing low-power processors has enabled it to dominate the mobile devices sector, while Intel Corp is by far the leader in chips used in servers and personal computers. A deal between ARM and Google could dent Intel's dominance in the server market as Google is one of the biggest buyers of server chips. "Since ARM chips for servers are cheaper, consume less power and require lower cooling compared with Intel chips, they would be very attractive for Google," Charles Stanley analyst Tom Gidley-Kitchin told Reuters. Intel's shares fell as much as 1.5 percent in early trading on Friday on the Nasdaq.

Gidley-Kitchin also said Google could be using the deal to pressure Intel to reduce prices of its low-power chips. For Google, a deal could result in massive savings and help it manage its servers better.

Google, which contributes about 5 percent to Intel's sales, could better manage the interactions between hardware and software if it used its own designs, Bloomberg said, citing a source with direct knowledge of the matter. "We are actively engaged in designing the world's best infrastructure. This includes both hardware design (at all levels) and software design," Google said in an emailed comment to Reuters. Some analysts said fears that Intel could lose a chunk of its market share were overblown.

"We believe that ARM based server products will predominantly cater to hyperscale workloads and capture just 10 percent of overall server units by 2018," FBR Capital Markets analyst Christopher Rolland said in a note. ARM's shares closed up 3 percent at 1003 pence on on Friday the London Stock Exchange. The company's U.S.-listed shares were up 3.4 percent at $49.27 by midday on the Nasdaq. Reuters

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